Les idées reçues sur la cigarette électronique
D’après le baromètre Santé Publique France publié en 2019, un français sur deux pense la cigarette électronique plus nocive que la cigarette de tabac, et ce, avec une forte prédominance chez les fumeurs, pourtant les plus concernés. Il en résulte que le passage des fumeurs à la cigarette électronique est souvent rendu plus difficile par leur propre entourage, qui, inquiet pour la santé du vapoteur l’assaille de questions et remet en cause son passage vers un outil efficace du réduction du risque. Le vapoteur est parfois démuni face à toutes ces interrogations et affirmations. Il finit souvent soit par remettre en doute sa pratique (allant même jusqu’à se remettre au tabac) ou envoyer sur les roses son entourage, qui pourtant, l’interrogeait avec de bonnes intentions.
Beaucoup d’allégations alarmistes sont relayées dans les médias à propos de la cigarette électronique sans toutefois avoir de fondement scientifique sérieux. Des amalgames sont effectués entre les produits issus d’un vapotage réglementé et sujet à de nombreuses lois et normes et des produits issus de marchés parallèles potentiellement dangereux (comme l’huile de THC par exemple). Ceci favorise un contexte de crainte et de désinformation de l’opinion publique. Dans le même temps, de nombreux professionnels des domaines scientifiques et de santé, étudient la cigarette électronique et reconnaissent qu’elle représente une alternative majeure à la consommation de tabac et un potentiel intéressant de réduction du risque.
Ô Mon VapO a donc repris et mis à jour le petit guide « Il paraît que... » créé par l’AIDUCE (l’association indépendante des utilisateurs de cigarette électronique) afin d’informer le vapoteur et son entourage (fumeur comme non-fumeur) sur les idées reçues et les questions les plus fréquentes autour de la cigarette électronique.
Présent sur le marché de la cigarette électronique depuis près de 10 ans, Ô Mon VapO est composé d’une équipe de vapoteurs convaincus et renseignés sur l’actualité, les études et la veille sanitaire autour de la cigarette électronique. Pas question pour nous de défendre la vape aveuglément sans prendre en compte certains avertissements ou en omettant des informations importantes. Nous tentons toujours de recueillir et délivrer de l’information objective. C’est l’éthique qui guide ce chemin de pensée, pour la sécurité et la santé de nos clients, de nos proches et également pour la nôtre…
"On ne sait pas ce qu'il y a dedans !"
"Vapoter est plus dangereux que fumer"
"La vape est truffée de produits chimiques"
"La nicotine provoque le cancer"
"Il y a eu des morts avec la cigarette électronique"
"La vape met de l'eau dans les poumons"
"Le matériel est dangereux et peut exploser"
"Il n'y a pas d'études sur la cigarette électronique"
"Nous n'avons pas assez de recul pour connaître la dangerosité"
"Il faut vapoter sur le dosage de nicotine le moins fort possible"
"Les vapoteurs l'ont toujours à la bouche"
"La vape n'aide pas à arrêter de fumer"
"C'est nocif pour l'entourage"
"Diminuer sa consommation c'est suffisant"
« On ne sait pas ce qu’il y a dedans ! »
Les éléments qui composent une cigarette électronique sont connus depuis son arrivée sur le marché et même antérieurement. En effet, la cigarette électronique et ses e-liquides n’ont pas créé de nouvelles molécules chimiques mais sont constitués d’ingrédients déjà utilisés dans de nombreux produits, notamment par l’industrie agro-alimentaire.
Une cigarette électronique comporte une batterie, qui chauffe une résistance imprégnée de e-liquide, permettant ainsi de créer un ensemble de gouttelettes de e-liquides : la vapeur.
Ce e-Liquide est composé des ingrédients suivants :
- Du Propylène Glycol (PG): Il est utilisé dans les liquides comme support d’arôme, fixateur et diluant. C’est un composé chimique dont la volatilité permet d’obtenir de la vapeur à de faibles températures. Utilisé dans l’industrie pharmaceutique (spray buccaux et inhalateurs) et cosmétique (humectant anti-bactérien), le propylène Glycol fait l’objet d’une classification FDA de « GRAS » (generally recognised as Safe). Il est reconnu comme peu toxique en utilisation répétée et prolongée par la classification européenne CLP. Le propylène glycol est une substance à laquelle nous sommes tous quotidiennement exposés dans la vie courante et qui ne présente pas de caractère dangereux, cancérigène ou mutagène. Il peut toutefois entraîner de petites irritations ou assèchement des muqueuses chez les personnes qui y sont sensibles.
Creuser le sujet:
- De la Glycérine Végétale (GV ou VG) : La glycérine végétale est composée à 99 % de glycérol, un élément qui se retrouve naturellement dans le corps humain, précurseur du glucose et du glycogène. C’est un liquide visqueux, inodore et incolore. La GV est, comme le PG, classée « GRAS » par la FDA, et n’est pas classée comme dangereuse à la CLP. C’est une substance qui n’est à nouveau ni cancérigène, ni mutagène. C’est une substance très courante dans un grand nombre de produit agro-alimentaire, cosmétique ou pharmaceutique. La Glycérine Végétale peut toutefois représenter un risque à la surchauffe anormale, se transformant alors en un aldéhyde appelé acroléine. En utilisation normale, on ne détecte pas cette formation d’aldéhyde. Il faut juste veiller à entretenir correctement sa cigarette électronique et ne pas vapoter si il n’y a plus de liquide. Le goût est tellement infâme que le vapoteur s’en aperçoit très très très rapidement !
Creuser le sujet:
Fiche de sécurité de la Glycérine Végétale
- Des arômes : Naturels ou synthétiques, au départ se furent ceux utilisés dans l’industrie agro-alimentaire. Ils ont depuis été adapté aux e-liquides en excluant des substances déconseillées à l’inhalation (diacetyl, acetyl propionyl, acétoïne…). Les arômes sont généralement formulés sur une base de propylène glycol pour être plus adapté à leur utilisation en vape.
- De l’eau, de l’alcool, des additifs : Il n’y a pas d’adjonction d’eau ou d’alcool dans les formulation des fabricants de liquide. Ils sont présents nativement dans certains arômes utilisés comme fluidifiant ou fixateur. Pour les additifs, ils en va de même, ils sont utilisés comme exhausteurs de goût ou correcteurs d’acidité (Ethyl maltol, menthol ou vanilline). Il existe bien sûr des e-liquides sans additifs pour une composition plus minimale.
- De la nicotine : La nicotine utilisée dans les liquides est une nicotine liquide appelée nicotine-base. La molécule de nicotine est extraite directement de la plante de tabac pour être ensuite élevée à un haut degré de purification puis être utilisée dans les patchs ou dans les e-liquides.
La réglementation française en matière de fabrication de e-liquide est strictement encadrée et régie par l’application de la TPD (Tobacco Product directive) européenne transcrite en France par les Lois Santé de 2016. Elle répond aussi aux exigences de la classification CLP sur les produits chimiques et du REACH. Tous les e-liquides sont soumis à obligation déclarative à l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail) ainsi qu’aux centre-anti poisons à des fins de veille sanitaire.
Chaque e-liquide doit faire l’objet d’une fiche de sécurité, de déclaration des compositions et d’analyses toxicologiques, microbiologiques sur le liquide et les émissions de liquide par des laboratoires d’analyses en interne et externe.
Le parcours du e-liquide suit un schéma de contrôle et de validation sanitaire strict pour assurer une réponse aux exigences en terme de santé publique.
"Vapoter est plus dangereux que fumer"
La quasi totalité de la nocivité du tabac provient de la combustion produite en le brûlant. La fumée d’une cigarette de tabac contient :
- Du goudron: Produit de la combustion, le goudron provoque de graves pathologies pulmonaires tels que le cancer du poumon, des voies aériennes supérieures, de la vessie…
- Des particules fines: Elles attaquent les bronches et provoquent des maladies cardiaques et respiratoires graves et invalidantes.
- Du monoxyde de carbone: Les particules de monoxyde de carbone sont particulièrement nocives car elles remplacent les molécules d’oxygène en circulation dans votre corps. Il faut 3 jours au corps humain sans cigarette pour évacuer le monoxyde de carbone. Il représente un véritable danger cardio-vasculaire et est responsable de nombreux infarctus du myocarde, AVC, artérites…
La réussite de la cigarette électronique est de permettre une délivrance de nicotine à un fumeur en évitant la combustion et donc l’inhalation de monoxyde de carbone, de goudrons, de particules fines et d’une centaine d’autres molécules toxiques.
Pour autant, la vapeur de cigarette électronique n’est pas d’une totale innocuité. Difficilement mesurable car elle dépend beaucoup des arômes utilisés, la nocivité d’une cigarette électronique a tout de même été établie à 95 % de nocivité de moins que du tabac fumé (rapport du Public Health Of England). Il faut mettre en perspective la nocivité intrinsèque de la cigarette électronique dans une logique de bénéfice / risque. Si le passage à la vape est grandement et largement bénéfique à un fumeur en terme de santé, il sera défavorable pour un non-fumeur. La nocivité de la vape est à mettre en perspective et à contextualiser avec les pratiques du public ciblé, à savoir, les fumeurs.
A titre d’exemple, voici une échelle des risques qui permet de positionner la vape parmi d’autres pratiques :
Rappelons-nous que le tabac c’est 73 000 morts chaque année en France. C'est la consommation volontaire de produit la plus meurtrière.
Creuser le sujet:
Ré-évaluation du Public Health Of England - Sovap
"La vape est truffée de produits chimiques"
« C’est chimique ton truc, au moins le tabac c’est naturel ! » est une phrase qui nous est souvent revenue aux oreilles. Et pourtant le tabac subit de nombreux traitements chimiques pour la modification de son PH, avec l’ajout de produits antitussifs et d’agents de texture et saveur. Et si la vape, à l’instar de nombreux produits est constituée de produits chimiques, ce n’est pas pour autant que ces derniers sont nocifs, et a fortiori, plus nocifs que certains produits naturels. Le naturel n’est pas plus gage d’innocuité que le chimique est forcément dangereux. Respectueuse de la réglementation CLP sur l’utilisation de composés chimiques, la filière exclue les produits reconnus toxiques, dangereux et cancérigène et s’engage à des contrôles et analyses réguliers sur les liquides proposés.
"La nicotine provoque le cancer"
La nicotine n’est pas cancérigène malgré de nombreuses croyances. C’est de l’association du tabac et de la nicotine que découle cet amalgame. La cigarette est cancérigène mais non à cause de la nicotine qu’elle contient. La cause cancérigène est la présence de nitrosamines et de goudrons dans la fumée de cigarette. Un effet cancérigène de la nicotine n’a pu être prouvée sur des rats exposés pendant 2 ans à des inhalations régulières de fort taux de nicotine. La nicotine, aux concentrations proposées dans les e-liquides ou dans les patchs, ne présente pas de potentiel toxique avéré.
Creuser le sujet:
"Il y a eu des morts à cause de la cigarette électronique"
En été 2019, les médias ont relayé des centaines de cas d’hospitalisation et des dizaines de morts aux Etats-Unis suite à l’utilisation d’une cigarette électronique. Il est aujourd’hui notoirement avéré que ces américains avaient vapoté de l’huile de cannabis THC acquis sur le marché parallèle et non des e-liquides prévus à des fins de vaporisation dans une cigarette électronique. Le THC ne peut être fixé que sur un corps gras (contenant de plus de l’acétate de vitamine E pour sa préservation). Malheureusement, les poumons, contrairement à l’estomac sont obstrués par les corps gras, tels l’huile, créant des pathologies pulmonaires très graves. L’acétate de vitamine E a également créé d’importantes lésions pulmonaires chez les victimes. Ce fait est connu en vape depuis ses débuts et les réglementations et lois qui régissent le marché interdisent l’utilisation de corps gras dans la composition des liquides pour cigarettes électroniques.
Creuser le sujet:
"La vape met de l’eau dans les poumons"
Non. C’est une légende urbaine dont nous cherchons encore la source…
"Le matériel est dangereux et peut exploser"
A l’instar de tout matériel électronique contenant une batterie (téléphone, ordinateur portable…), le risque n’est pas nul mais n’est pas plus important. Les équipements de cigarette électronique doivent tous répondre aux normes CEN qui encadrent le matériel électronique et électrique. La quasi-totalité du matériel est électroniquement protégé en cas de surchauffe, de court-circuit, d’inversion de polarité ou de déclenchement involontaire. D’autres, beaucoup plus rares, sont vendus sans sécurité initiale pour des vapoteurs avertis qui doivent impérativement respecter des consignes de sécurité strictes. Les cas recensés dans la presse ont tous été la cause d’une mauvaise utilisation ou de non-respect de consignes de sécurité élémentaires. Nous citerons le cas le plus courant de piles ou accumulateur transportés sans protection dans une poche contenant des clés, pièces ou autres objets métalliques. Il faut également veiller, comme pour tout autre appareil à batterie, à mettre en charge avec un chargeur adapté sur une installation électrique conforme.
"Il n'y a pas d'études"
Cette affirmation est totalement fausse. De très nombreuses études scientifiques sortent régulièrement au sujet de la vape. On en compte plus d’un millier. Difficiles d’accès pour le non-initié, ces études ne sont pas forcément abordables pour le grand public mais existent bel et bien pour la communauté scientifique. Heureusement des études ont pu être vulgarisées et sont mises à disposition du plus grand nombre.
Creuser le sujet:
"Nous n'avons pas de recul pour connaître sa dangerosité"
Il est exact de dire qu’il n’existe pas 50 ans de recul sur l’utilisation de la cigarette électronique. Et c’est un fait invariable. Pour autant, depuis sa commercialisation en 2008, soit depuis plus de 10 ans, il n’y a pas eu de mort imputée à la vape dans des cas normaux d’utilisation de produits réglementés. Les études s’accordent toutes à démontrer une utilisation bien moins nocive que celle de la cigarette de tabac. Le tabac, lui tue 73 000 personnes en France chaque année. Face à un tel fléau, la notion de principe de précaution, au vue des bénéfices / risques démontrés par les études, n’a pas lieu d’être. Doit-on empêcher les utilisateurs qui ont une vie de tabac derrière eux, de pouvoir essayer une alternative plus saine ?
Bien évidemment, le mieux restera toujours, et sans le moindre doute, de stopper toute consommation de cigarette ou de e-cigarette. Cela reste l’objectif de nombreux fumeurs et vapoteurs, mais le chemin à parcourir n’est pas toujours simple pour tous. Restons indulgents.
" Il faut vapoter le moins de nicotine possible"
« Quoi !! Mais tu vapes en 12 mg ? » Nombre de vapoteurs rencontrent un jugement sur le taux de nicotine qu’ils utilisent dans leur vapoteuse. Eux-même, se fixent parfois des objectifs drastiques en terme de taux de nicotine. L’important n’est pas de vapoter le moins fort taux de nicotine mais bien de vapoter le moins possible, quitte à utiliser un taux élevé. Moins le vapoteur inhalera de propylène glycol, de glycérine végétale et d’arômes, au plus le bénéfice / risque pour sa santé sera favorable. Il est toujours préférable de vapoter 2 ml par jour en 18mg de nicotine que 10 ml par jour en 3mg.
Creuser le sujet:
Dr Farsalinos - Différence d'absorption de la nicotine entre vape et tabac
" Les vapoteurs ont toujours leur e-cigarette à la bouche"
C’est souvent vrai, surtout dans les premiers temps. La disponibilité de la nicotine dans une e-cigarette est moins efficace que dans une cigarette de tabac. Si la nicotine d’une cigarette de tabac met 5 minutes pour parvenir aux récepteurs nicotiniques du fumeur, la vapeur de e-liquide nicotinée peut mettre jusqu’à une quarantaine de minutes. Le vapoteur va donc avoir tendance à effectuer des prises plus courtes mais plus régulières pour se maintenir au dessus d’un seuil de satiété et donc de confort.
Ce point rejoint également celui évoqué ci-dessus. Un vapoteur choisissant un taux de nicotine inférieur à son réel besoin va rechercher sa satiété nicotinique en vapotant davantage. Les vapoteurs qui se sous-dosent fabriquent ainsi eux même une e-cigarette sans fin.
" La vape n'aide pas à arrêter de fumer"
Toujours selon le baromètre Santé Publique France publié en été 2019, la cigarette électronique a permis de sortir de 700 000 à 1,2 millions de fumeurs du tabagisme. Une étude anglaise de 2014 a démontré que la cigarette électronique augmenterait de 60 % les chances de réussir son sevrage tabagique. En France, l’INSERM publie que la cigarette électronique augmente de 1,7 fois les chances d’arrêter de fumer.
La cigarette électronique n’est pas pour autant un outil magique mais elle offre davantage de réussite que les méthodes d’arrêt conventionnelles.
Creuser le sujet:
" La vapeur est nocive pour l'entourage"
Aucune étude n’a à ce jour démontré une toxicité de la vapeur rejetée par un vapoteur sur son entourage. Des études ont confirmé que les composants rejetés dans l’air ambiant étaient les mêmes que ceux entrant dans la composition du e-liquide. La nicotine rejetée représentaient 6,3 % du volume inhalé. Ces taux sont trop faibles pour avoir un quelconque impact physiologique sur l’entourage. La demi-vie de la vapeur dans l’air ambiant est également 100 fois plus courte que celle d’une cigarette ou d’une chicha.
Creuser le sujet
"Il suffirait de diminuer la consommation de tabac"
Nous avons tendance à croire que réduire sa consommation de cigarette est synonyme d’autant de réduction du risque encouru. Si effectivement réduire sa consommation de goudron limite les risques de pathologies pulmonaires, il n’en va pas de même pour les risques de pathologies cardiaques. A partir d’une seule cigarette de tabac par jour le risque d’accident cardiovasculaire augmente lui de 60 %. En divisant sa consommation de cigarette par 2, on ne diminue donc pas le risque par 2. L’objectif le plus cohérent en terme de santé reste donc bien une consommation exclusive en vape ou/puis un arrêt total de toute consommation.
Creuser le sujet:
"La cigarette électronique incite les jeunes à fumer"
Si les jeunes sont nombreux à être attirés par l’essai de la cigarette électronique, comme c’est le cas pour les cigarettes de tabac, ils la testent majoritairement sans nicotine. A des fins de protection, la loi française interdit la vente de cigarette électronique aux mineurs. Il reste peu probable qu’un effet passerelle puisse se faire entre la cigarette électronique et le tabac. Les fumeurs devenus vapoteurs évoquent presque tous un dégoût du goût et de l’odeur des cigarettes de tabac, il en va de même pour les jeunes. A ce jour aucune enquête n’a pu démontrer l’existence d’un effet passerelle.
Creuser le sujet
"La vape revient aussi cher que les clopes"
Dans le cadre d’une utilisation normale, c’est à dire avec un dosage de nicotine et du matériel adapté, le coût de revient du vapotage est 2 à 3 fois moins important que celui du tabac.
Le Guide des idées reçues sur la cigarette électronique est disponible en version papier dans nos magasins de cigarette électronique de Montpellier et notre vape shop à Castelnau Le Lez !